Scarlett Johansson sera la tête d’affiche de Jurassic World: Rebirth, le prochain chapitre de la franchise culte, dont la sortie est prévue pour juillet 2025. Ce nouvel opus s’annonce comme un tournant pour la saga, qui cherche à redéfinir son approche des aventures préhistoriques. Universal Pictures a révélé aujourd’hui un premier aperçu sous la forme d’un poster animé, une annonce qui coïncide avec une saison estivale déjà bien chargée par les grosses productions hollywoodiennes.
Une quête génétique au cœur des tropiques avec Jurassic World Rebirth
Dans Jurassic World: Rebirth, l’univers de Jurassic Park prend une nouvelle dimension. Plusieurs années après les événements de Jurassic World Dominion, la survie des dinosaures est devenue un phénomène marginal, limité à des environnements équatoriaux où les conditions rappellent leur habitat d’origine. Le film place Johansson dans le rôle de Zora Bennett, une experte en opérations secrètes, qui se lance dans une mission périlleuse : récupérer des échantillons d’ADN de trois des plus grandes créatures du monde, terrestres, maritimes et aériennes. Pourquoi ? Parce que ces échantillons pourraient détenir les clés d’un traitement médical révolutionnaire.
Jurassic World Rebirth. In theaters July 2025. pic.twitter.com/CLUdLQPPfO
— Jurassic World (@JurassicWorld) August 29, 2024
Avec cette intrigue, ce quatrième films de la série World semble vouloir explorer des thèmes plus contemporains, comme les manipulations génétiques et leurs conséquences. Le scénario propose une réflexion sur la frontière entre exploitation scientifique et éthique, dans un monde où la survie des espèces est un jeu de pouvoir. L’ajout de personnages comme que Martin Krebs, incarné par Rupert Friend, représentant d’une entreprise pharmaceutique, laisse entendre que cette nouvelle aventure ne sera pas seulement une course contre la montre, mais aussi une lutte entre différentes visions de l’avenir.
Une distribution de poids pour une aventure de grande envergure
Pour incarner cette nouvelle dynamique, le film réunit un casting international impressionnant. Mahershala Ali, deux fois oscarisé, campe Duncan Kincaid, un leader d’équipe expérimenté et le bras droit de Zora Bennett. Jonathan Bailey, étoile montante du théâtre britannique et visage familier des séries, joue le rôle d’un paléontologue dont les connaissances seront cruciales à la mission. Le film introduit également Manuel Garcia-Rulfo dans le rôle de Reuben Delgado, un père pris au piège avec sa famille après une rencontre dramatique avec des créatures aquatiques redoutables.
Cette affiche semble montrer que le film va en tout cas au-delà du simple affrontement avec des dinosaures, mais ce n’est pas forcément un fait rassurant. Les différentes nationalités et les parcours variés des membres de l’équipe donnent l’impression d’un récit qui réfléchit sur les relations humaines dans des situations extrêmes, tout en posant la question : jusqu’où sommes-nous prêts à aller pour manipuler la vie ?
À la réalisation, Gareth Edwards apporte son expertise en matière de mondes spectaculaires et de récits épiques. Connu pour son travail sur Rogue One: A Star Wars Story, l’homme semble bien placé pour réinventer la mise en scène des dinosaures, tout en apportant une approche plus sombre et mature. L’association de son style visuel distinctif avec le scénario de David Koepp, auteur du premier Jurassic Park, pourrait offrir une combinaison unique de nostalgie et de modernité.